
Ils morcelèrent la terre pour mieux la dévorer
Ils se donnèrent des permissions d'expansions morbides
Chacun en d'hypothétiques limites éphémères
Pouvait à sa guise exterminer un peuple
Le gaver aux images du pouvoir choisi
Remplir son sol de poisons pour mille générations
Son air d'aiguilles aux interactions inimaginables
Ils firent de la terre un objet de manipulation
Dont ils se soucièrent comme d'un furoncle
Pour des desseins personnels et sans lendemain.
La nuit elle-même, pourvue de pointes mortelles
Qui repoussaient à chacun de mes coups
Pleurait la fermeture des issues
Dans l'infini d'un univers devenu brut,
Doucement s'éteignait la danse de l'homme.
Echec...
4 commentaires:
http://www.dailymotion.com/video/xq6yt_red-rain-peter-gabriel_music
il en restera la trace sinuante d'un reflet, et sur les épaules une tête voltigeant à cent à l'heure, où chaque cerne, chaque écho devenu objet de décor, devenu objet à distance, tête, pied, corps, chacun reprendra sa forme initiale, celle que d'un chacun il n'était qu'un pas au jardin des Uns.
Fishturn : Ca fait plaisir :) Heuu..., je comprends pas l'anglais et je regarde quasi jamais les vidéos parce que je piétine devant ces lenteurs à chaque fois. J'espère que ton message n'était pas la-dedans. J'ai écouté, c'est sympa.
Mandoue : je sais pas. C'est une croyance je suppose. Je ne crois aucun chemin inutile, même si le mien n'est qu'une poussière et qu'il y a dans ce mot déjà beaucoup de prétention. Il faut donner forme pour dire.
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