
Vous êtes les uns sur les autres
A repasser sans cesse
Les linges de vos clans sectaires
A vous rendre fous en nombre
Excluant l'Autre au plus près de vos raisons
Tissant sans fin des cages labyrinthiques
Où nulle Lumière ne perce
Que celle de barreaux assassins
Qui es-tu pour oser juger une vie dont tu ne sais rien ?
Où dans l'ignorance qui guide tes pas, tu ne te vois même plus
La remplir de haines enrubannées au coeur plastique
Depuis combien de temps déjà,
Extermines-tu ce que tu crois sans valeur ?
Depuis combien de temps déjà,
As-tu perdu ta parole ?
De ce jour sans doute
Où tu ne l'as plus tenue
Un pas, puis un autre, puits...
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