18.9.06

Pascal en file Indienne & the melting pot



"Les preuves ne convainquent que l'esprit. La coutume fait nos preuves les plus fortes et les plus crues; elle incline l'automate, qui entraîne l'esprit sans qu'il y pense.

On ne s'imagine Platon et Aristote qu'avec de grandes robes de pédants. C'étaient des gens honnêtes et, comme les autres, riant avec leurs amis; et, quand ils se sont divertis à faire leurs Lois et leur Politique, ils l'ont fait en se jouant.

Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas: si vous gagnez, vous gagnez tout; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter.

Qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout.

Quelle vanité que la peinture, qui attire l'admiration par la ressemblance des choses dont on admire point les originaux!

Se moquer de la philosophie, c'est vraiment philosopher."


Pourquoi voulaient-ils, que je prenne avec eux le chemin des guerres et des folies ?
Ils firent des merveilles au monde.
Ils firent des horreurs sans nom.
N'est-il pas là ce moment de dire
Il y a des aboutissements humains dont nous ne voulons plus

Il n'est pas forcement utile de trouver les mots pour décrire l'indicible couteau qui fouille et refouille la plaie jusqu'à s'y perdre de pénétration en pénétrations et remplir des trains d'abattoirs, en Afganistan ou ailleurs. T'as compris quelque chose de là-bas, toi? Moi, je vois le résultat de leurs belles paroles que c'est toujours la faute de l'autre. Indiscutablement.
Payer l'armée, ce n'est plus vraiment le pays, ce n'est plus vraiment nos enfants qui partent tuer les ennemis de leurs enfants. Sont payés pour. Par qui? Peu importe, c'est compliqué, alors tu laisses ça à ceux qui ont des intérêts bien compris et savent les défendre.
Pis ne t'inquiète pas, on n'est pas en guerre parce que peu de soldats avec du bon matos, c'est déjà une bonne armée. Et pis ne t'inquiète pas, on n'est pas en guerre parce que c'est pas dit comme ça aux informations du qu'on sait tout et du qu'en quand dira-t-on. Je suis sans doute un peu simple, mais si je me mets à la place de l'autre, je dirais que je vois en face de moi des mercenaires sans âme qui en ont rien à foutre de ce que je pourrais dire pour qu'ils arrêtent leurs conneries où mes familles et mes enfants meurent et que je ne saurai jamais pourquoi.
Même si j'y trouvais un nom.
Pourquoi pensez-vous que l'intelligence fournira la paix, puisque vous n'arrivez même pas à l'éduquer chez vous ?
A en chasser toute colère.
Vos réponses sont toujours des destructions, des voiles, des caches misère, des censures, des petits meurtres journaliers. Vous en prenez un
un peu au hasard, le rendez chef et responsable, en oubliant qu'il est comme vous, qu'il est né chez vous, de votre culture, de vos us et coutumes.
Si vous ne changer pas votre génération, si vous ne changez pas vous,
qui le fera ?

Après vous le déluge, oui, je sais...

Zappons, petit patapon.

Des choses étaient dites, pleines de bon sens, personne ne les écoutait.

Ils en avaient remplis des bibliothèques, leur soit-disant trésor, je suis d'accord. Cette fleur entrainait aussi l'homme à sa perte, en creusait une cage aux boyaux infernaux, ne le laissait plus en Paix. Ils vivaient comme sous terre et dans l'obscurité. Il aurait fallu en sortir, ils en étaient tous simplement incapables. Ils étaient dedans et ne le voyait pas. C'était leurs sols, leurs ciels, leurs horizons.

Ils étaient incapable d'en tenir l'essence d'une seule issue. Même pas une! En inventaient d'autres sans substance. Juste pour pouvoir en parler, comme tite pipelette, dont j'attendais les pommes. Les fruits de sa vie. Son présent au monde. Oui, c'est influence de Pascal, encore.
Parce que c'est une reine les kékés.
Comment pourriez-vous la voir ?
Il faut être roi pour cela. Ou reine.
Et pis tu veux déjà pas voir qui est à côté de toi. Alors, je te laisse imaginer ta situation, et ce qu'elle te donne pour plaire à ton miroir.
Vous êtes pourtant si nombreuses, si nombreux, à deux doigts de naître.
Quels poids vous pèsent encore ?
Quels liens trop gros vous absorbent encore ?



Avec moi, elle aurait très peu sur les épaules, si d'aventure lui venait l'envie de me porter. C'est cool. L'inverse est vrai. C'est cool aussi. Pour jouer à Don Quichotte avec le lustre du salon. Par exemple.
Ben~y!
:)))



J'ai forcé le contraste informatique sur cette peau de peinture sur papier snark.
Heuuu, je voulais dire kraft. Emballer, c'est peser.
Si tu le plies comme il faut, ça te fait un palapalala typo tougros.
Il te reste plus qu'à savoir où le ranger :)))
Autant te dire que je préfère les laisser à plat. Quand il y en a trop, hop, ça fait un rouleau de saison ou de petite semaine, et je me retrouve avec le même problème : je vais mettre ça où?
Parce qu'une peinture autant réduite, ça ne parle pas toujours très bien dans la nuance.
Ca met du bleu à la place du vert. Ca met du citron à la place du jaune tout doux comme une vapeur de soleil et qui, lentement, prendrait son vol.
Pour tout dire bref, c'est autre chose :)))




C'est joli, hein ?

C'est un palapalala typo derviche typo matamore typo pas mâle
Parce que je le beau bien si je veux.

Si tu crois que je connais pas ces peaux d'oranges et ce qu'elles flattent très souvent, dans un terrorisme sans pitié et profond.
Si tu crois que je sais pas la population de branques que ça m'attire de faire des trucs comme ça. Toujours pareils.
Pour quelques uns qui en valaient tous les détours,
c'est vrai aussi :)

Tu sais que si tu te fermes la bouche en te pinçant le nez, que tu souffles très fort, tu peux te faire pousser un pompon rouge sur le haut de crâne ? Rigole pas tant que ça. Je vois bien que le tien est déjà sérieusement développé pour ton âge :)))
Tu veux un poncho de la vie là ?
Un petit chapeau typo le "bocal Toutanestétik" ? Un dob à deux trous pour y passer les deux points de fuite de tes oreilles d'âne? Je dis ça, mais je suis souvent dégagé en seulement un mouvement dans les sites là. C'est trop facile. Même pas drôle.
C'est vite plus vu. Restons humble. Chassons la misère et ses misérables gratte-vernis.
Une sorte de perfection de l'instant en bloc de sel à grosses couilles coiffé d'une auréole angélique et puante.
Faux sur tout que rien ne bouge. En plus, ça paye.
" Vanitas ! Quelle forme as-tu que je te tripotâââille !? "
Dire qu'il n'y avait là qu'un neurone est un pas qui certes, est très tentationnant :)))
Un petit bisou?
Pas là, pas là, là
:)
Hugh !
~y!
.

Ps C'est juste pour demander à tous ceux qui sont beaucoup en ce moment, qui m'habillent du costume du fou, de celui qu'on ne comprend pas et patati pour ne plus me voir et dans l'éloquence du silence et du rejet, pourquoi vous ne l'enfilez pas vous-même puisque vous hésitez sur votre être, doutez de votre propre vie et que vous attendez demain comme des manches en costume trois pièces.

Haaaaa! Vous l'avez déjà mis ! Ben c'est pas la peine de me le dire, tu crois que je suis aveugle en plus de tout ça ? Tu me gaves tellement, c'est trop d'honneur.

Vous entravez que puipouic à la poésie, à l'art, aux fleurs. Vous faites semblant et répétez les grilles de lecture apprises et sans le savoir. Quand vous comprenez pas ce qui est dit parce que l'auteur est mort et célèbre et que c'est donc obligatoire d'en être sous peine d'être montré du doigt par la galerie et qu'il faut donc faire un effort, vous vous accrochez à n'importe quoi, comme par exemple une poubelle de paravents où tu vas parler de ce que tu connais pas et que pour cette raison, grâce à cela, tu as beaucoup recouvert, caché, enterré, et croîâââ! ton être. Sentiments, amour, haine, malheur, grandeur de l'homme, du poète, de l'autre et de toi, toi, toi.
Tu sais faire marcher la pioche à tous les coups.
Comme un artiste répétitif et obsessionnel à la couille non descendue et frotte, frotte, frotte.

" Des flots de misères courbaient sur leurs échines des voluptés noires d'incompréhensions ravalées à l'alexandrin coquin.
Ils piaillaient entre eux des jacasseries goulues où parfois la patte sur la pierre élevait une tronche pour un "glouglou!" soudain et sanctifié par la masse et le profil.
Jamais un merci interne à l'origine de la conjonction du moindre savoir et à grands coups de voiles prétentieuses, ils disaient le verbe haut et la tête vide : je crée !
J'ai créé, je suis, regardez-Moi ! Messieurs mesdames, applaudissez! " Et tout le monde d'applaudir. Et tout le monde de se frotfrotter la pense à la baise morte du semblable où toi aussi un jour, tu pourras hisser ton bon mot, je n'en doute pas.
Ton drapeau made in Ducon.
Tu te crois sorti de la cuisse de Jupiter, flamboyant, radieux, ton écharpe de dédain flottant aux vents de ta destinée élue.
" Je suis tel Jupiter ! "
C'est la normalité de ta position de naissance, tu as la tête juste en dessous de Son cul et tu ne veux pas entendre les éclats de rire du cosmique Pétomane.

Qu'ilL me pardonne cette image sLv

A chacun le lieu et les formes de son taf :)))

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Qui je suis ?

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D'où je viens..... D'où je tiens :))) http://wizzz.telerama.fr/pixels Si vous imprimez d'ici, merci de penser aux sdfs, ces hommes au ciel pour tout toit. On va dire que c'est pour eux que je fais tout ça :))) En rang par trois je vous prie, bien gentillement. J'veux voir qu'une tête :))) Pas là, pas là, là